Exposants 2016
05.25
Voici la liste des exposants de cette année, quelques photos, et liens seront ajoutés tout bientôt :
Thomas de la Pinta (Peintre, graveur, illustrateur) :
Thomas est membre du collectif l’arête inutile. Voici son Blog, et une petite photo de présentation :
Xavier Montero (peintre)
Né en 1972 à Nantes, d’une mère Espagnole et d’un père Péruvien.
Après avoir fait des Etudes d’Arts Plastiques à la faculté de Rennes, je vais passer une dizaine d’années à chercher, expérimenter diverses techniques et matériaux.
Mon envie de travailler sur l’origine et l’identité me guide vers un projet de voyage sur la terre de mes ancêtres.
Un périple familial de 7 mois en 2006 en Amérique Latine (Pérou, Bolivie, Equateur, Argentine) va être l’élément moteur de mon exploration actuelle.
Arnaud Provost (peintre)
Après avoir travaillé le trait et les volumes, à travers le dessin et toutes ses formes les plus diverses, du croquis crayonné jusqu’aux outils techniques et industriels de la D.A.O. je me lance en 2006 dans la peinture après une longue période d’hésitation que je ne m’explique toujours pas.
Séduit instantanément, je me plonge dans la couleur, la matière et toutes ces nouvelles orientations que je peux apporter à mon travail ! Le rapport physique, avec la toile m’interpelle lui aussi, les heures de quasi confrontations passées debout face à ma peinture plongé dans la musique sont parmi les plus intenses que j’ai pu connaître.
A travers les différentes rencontres de ce parcours artistique, les plus riches m’ont permises de participer à la création du collectif l’arête inutile, en plus d’être une expérience humaine forte, cela m’amène à la performance live.
Peindre devant un public sous la pression du temps, une situation à l’opposé de celle d’un atelier.
Peindre, en plus de me donner un recul indispensable sur mon quotidien, m’apporte une source d’inspiration immense qu’il m’est rassurant de savoir inépuisable.
Fred Mazere (peintre)
Frédéric Mazère, né en 1965, vit et travaille à Nantes.
Eponge du quotidien, papier buvard des aléas, l’artiste a d’abord cherché à s’exprimer par les mots.
Page blanche posée et crayon de bois en main, rien ne sort. Si ; des traits, des silhouettes, des visages,
d’autres visages, et encore d’autres visages…
D’abord en noir et blanc, le dessin se construit en suivant un cheminement spontané,
connecté aux sentiments de l’auteur.
« Au début, c’est chaotique et puis une histoire se met en place ».
Entremêlés les uns aux autres, les visages forment des silhouettes complexes et instinctives.
Puis vient la couleur, explosions aléatoires ou touches maîtrisées.
Dessin, peinture, volume, bustes ou encore boîtes aux lettres…
L’éventail d’expérimentation de l’artiste s’élargit.
Avec toujours la liberté pour guide.
La galerie au lait :
Il s’agit d’une collection d’œuvres d’artistes de la région, au format et au tarif uniques. Ce petit dispositif poursuit l’objectif qui a donné naissance au collectif d’artistes : dé-mo-cra-ti-ser les arts plastiques, les rendre accessibles à toutes et à tous, leur donner une place importante dans la vie de la Cité.
